Posté le 05/08/2007 � 15:41

Je me permet de relever une question:
hum quelqu'un me disait que ces 12 personnes ne voulaient pas repasser ce concours...faut être maso pour en être la ou on en est.
il"paraitrai" que pas moins de dix personnes sur les douzes voulaient odonto...quelqu'un confirme ?
Parcque le vrai problème ce situ, là, je suis désolé de me baser sur des on dit mais c'est tout ce que j'ai:
Sur les 11, 10 éstiment qu'ils auraient dut avoir odontho, pourquoi? Parcqu'ils étaient dans les 411+70premiers.
Mais a ce que je sache le numerus odontho s'arrete à 70, donc ils n'avaient, même dans le premier classement, aucune certitude d'avoir chirdent.
Maintenant pour le 11e qui veut medecine, était il dans les 411 premiers?
Si je pose c'est question c'est vraiment pour comprendre la légitimité des reclamations, si les "déclassés" n'étaient pas dans les 411 premiers ils n'ont, a mon avis, aucune legitimité.
Maintenant on dit que la ministre se fous de nous, qu'elle accorde pas de dérogation au NC, et qu'elle prefere la justice a une solution amiable (et arbitraire).
Et bien je suis P1, j'ai, dans les deux classement, validé ma place en P2, et au risque de vous surprendre je suis contre un elargissement du NC.
De une, parcque ce n'est pas au pouvoir legislatif de rendre justice (raison invoquée par MmePecresse) et de deux parcque augmenter notre numerus clausus serait une injustice face a toute les autres fac de france.
Alors j'estime que la plainte posée au tribunal administratif doit se réglé devant un juge, et j'espere, c'est ce qui me parait juste, que l'illegitimité du premier concours ou du second concours sera affirmé.
Car de deux chose l'une, soit la première epreuve de stat était inégale et la refaire était normal, et dans ce cas le premier classement est nul. Soit l'epreuve de stat a été refaite sans vrai raison, il y a abus de l'administration et seul le deuxième classement est validé.
Petites indications sur le référé en suspension:
http://www.gymnopedie-juridique.net/refere/suspension.html#presen...
L'article L.521-1 cja permet au juge des référés de paralyser l’exécution d’une décision administrative, que cette décision soit explicite ou implicite, qu’elle accorde ou refuse, admette ou rejette. Le juge peut ordonner la suspension des effets de l’acte ; il peut alors, le cas échéant, enjoindre à l’administration de prendre les mesures qu’il détermine comme constituant la suite nécessaire de la suspension ;
encore faut-il que le requérant d’une part évite les pièges de l’irrecevabilité, d’autre part établisse l’urgence, enfin
fasse douter de la légalité de l’acte administratif dont il demande la suspension .
Ainsi, si je me permets une remarque personelle, la fac aura de bons avocats et je ne suis pas sur que les 11 puissent faire aboutir le référé en suspension.
P.S.Ce que je dis peut paraitre dur pour les 11 qui tentent une action en justice, mais si je comprends l'état de detresse dans lequel ils peuvent être, j'estime injuste leur pretention a quelques réparation.